Route - Lampaert: «J'espère un jour offrir un trophée à mon petit garçon»
Par Theo CHEVALIER le 23/02/2022 à 10:15
Auteur d'un travail fantastique pour son leader Remco Evenepoel sur le Tour d'Algarve, Yves Lampaert a montré qu'il était en forme à l'approche du week-end d'ouverture des classiques flandriennes. Homme clé du dispositif de la formation Quick-Step Alpha Vinyl Team sur les épreuves belges, le double vainqueur d'À Travers la Flandre espère bien briller dès l'Omloop Het Nieuwsblad (26 février). Toujours à la recherche de son premier monument, le natif d'Izegem a déjà terminé troisième de Paris-Roubaix, en 2019. Le Belge de 30 ans s'est confié sur ses ambitions.
Vidéo - Yves Lampaert est l'un des spécialistes des classiques
"C'est toujours agréable pour la confiance"
"Tout d'abord, l'Omloop Het Nieuwsblad a lieu en Belgique et c'est une Classique. Celles-ci sont vraiment importantes pour l'équipe, et pour moi personnellement aussi les courses que j'aime le plus et le type de courses qui me conviennent le mieux. Ce n'est pas que nous devions déjà gagner là-bas, mais bien sûr, c'est toujours agréable pour la confiance et cela enlève un peu de pression pour les autres Classiques plus tard. Vous voyez et sentez immédiatement que nous courons un peu plus détendus, si nous avons déjà remporté une victoire lors du week-end d'ouverture", assure l'ancien champion de Belgique sur le site de sa formation.
Currently racing #VAlgarve2022, @yveslampaert talked about his winter preparations and expectations going into the Opening Weekend: https://t.co/5MvDERio4r
— Quick-Step Alpha Vinyl Team (@qst_alphavinyl) February 18, 2022
Photo: @GettySport pic.twitter.com/QnFnVlEPdW
"Paris-Roubaix reste la course de mes rêves"
Devenu père la saison dernière, Yves Lampaert avoue avoir maintenant une motivation supplémentaire : "Paris-Roubaix reste la course de mes rêves. J'espère que cette année, j'aurai moins de malchance. Finir cinquième l'année dernière après tant de problèmes mécaniques m'a donné beaucoup de confiance. La course me convient vraiment. Je dois croire en moi et espérer avoir de la chance. Avoir un petit garçon maintenant me donne une motivation supplémentaire, l'année dernière je le sentais déjà. Il me manque quand je suis loin, mais quand je rentre à la maison et que je le vois, ça vaut vraiment la peine. J'espère pouvoir lui offrir un trophée un jour", souffle le coureur du Wolfpack.